
Comprendre le manque de confiance en soi
Très régulièrement, dans le cadre de ma pratique professionnelle de psychologue, je suis sollicitée par des personnes énonçant leurs souffrances dans leurs relations affectives aux autres, sources d’insécurité, d’anxiété, en lien avec le fait de ne pas avoir confiance en soi.
La question des liens d’attachement, des blessures subies dans l’enfance, de l’autosabotage à l’âge adulte est sous-jacente à ce manque de confiance en soi ainsi qu’à une mésestime de soi.
Il est souvent mis en évidence des souffrances émotionnelles fortes créant des dommages conséquents sur la santé psychique et physique (autosabotage, somatisations) avec des impacts dans leurs relations personnelles, amoureuses, familiales, professionnelles et amicales.
J’ai déjà écrit plusieurs articles liés aux liens d’attachement, à la confiance en soi, à l’estime de soi. Vous pourrez les retrouverez, chers lecteurs, sur ce site.
Mon propos, aujourd’hui, est de davantage faire le point sur les blessures de l’enfant que nous avons pu, chacun et chacune, expérimenter (le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison) en lien, parfois, à des relations toxiques instillées par les figures parentales, entrainant :
- De l’autosabotage
- Des liens d’attachement empreints de dépendance ou de défiance,
- Des comportements, néfastes dans le lien/la relation à l’autre
Ancrant au plus profond de soi le manque de confiance en soi, la dévalorisation et une mésestime de soi.
Il s’agira aussi d’en repérer les causes, d’en cerner les conséquences, de faire émerger des conseils, des solutions pour vous amener à mieux rebondir et vivre plus sereinement votre chemin de vie.
C’est une évidence de la dire mais il est important de se rappeler que nous avons, tous, été des petits enfants avant de nous construire, de grandir et de devenir les adultes que nous sommes aujourd’hui. C’est assurément le contexte et l’environnement familiaux dans lesquels nous avons vécu et aussi l’enfance que nous avons eue qui influencent et conditionnent la construction de notre vie d’adulte et donc, évidemment les questions de confiance en soi et d’estime de soi. Les difficultés, les problèmes (pouvant avoir été vécus comme des traumatismes) de notre petite enfance laissent des traces, des empreintes importantes sur notre façon d’affronter les épreuves de la vie avec une confiance en soi fortement impactée.
Chacun est appelé à garder en tête que l’ensemble de nos relations affectives s’est édifié à partir de nos premières relations d’amour, la plupart du temps avec les figures parentales. Ainsi, ce premier lien affectif devient le modèle qui va conditionner, de manière significative, la façon d’être en relation d’abord à soi-même et aussi aux autres sur le registre de la confiance en soi.
Nos émotions, nos ressentis, nos sentiments, nos blessures d’enfance et nos réactions nous amènent à revivre, inlassablement, de façon répétitive des relations insatisfaisantes et des comportements qui peuvent s’avérer destructeurs pour soi et aussi pour les autres.
Le manque de confiance en soi est un problème plus commun qu’on pourrait le penser. Nombreux sont ceux qui, à un moment ou un autre de leur vie, ont ressenti une incertitude face à leurs capacités. Cette émotion peut se manifester sous différentes formes, que ce soit dans le cadre professionnel ou dans les relations personnelles. Ainsi, c’est le cas de Mohamed qui hésite à postuler un emploi par peur du rejet ou de Jean-Baptiste qui évite de prendre la parole lors d’une réunion.
Il est essentiel de reconnaître que la confiance en soi ne vient pas naturellement à tout le monde. Elle peut être influencée par des expériences passées ou des attentes irréalistes.
L’impact du manque de confiance en soi
L’impact du manque de confiance en soi peut être profond et souvent dévastateur. Voici quelques conséquences notables :
- Opportunités manquées : Ne pas saisir de nouvelles occasions à cause de l’anxiété.
- Relations tendues : Difficulté à établir des liens en raison de l’autocritique.
- Stress et anxiété : Sentiments persistant d’inquiétude ou de feed-back négatif.
Comprendre et traiter ce manque de confiance est donc crucial pour mener une vie épanouissante et équilibrée. Ce voyage commence par l’auto-analyse et la volonté de changer.
Reconnaître les signes du manque de confiance en soi
Auto-critique excessive
L’un des signes les plus clairs du manque de confiance en soi est l’auto-critique excessive. Cela se manifeste souvent par des pensées négatives récurrentes sur ses propres compétences et mérites.
Par illustration, c’est l’exemple de Françoise qui peut se concentrer sur une petite erreur commise pendant une présentation (et donc ruminer tant et plus) en oubliant tous les aspects positifs qui ont été bien exécutés.
Voici quelques manifestations de l’auto-critique :
- Dialogue intérieur négatif : Se parler de manière dévalorisante.
- Comparaisons constantes : Se juger par rapport aux autres sans tenir compte de ses propres réussites.
- Incapacité à accepter les compliments : Éviter ou minimiser les éloges des autres.
Évitement des défis
Un autre signe très révélateur est l’évitement des défis. Les personnes manquant de confiance en soi peuvent souvent choisir de rester dans leur zone de confort, même si cela les empêche de progresser. C’est le cas d’Amina qui, malgré ses talents, refuse de participer à un projet professionnel important par peur de ne pas être à la hauteur en ne cessant de se dévaloriser et de se disqualifier.
Les comportements typiques d’évitement incluent :
- Récusation d’opportunités : Décliner des projets qui pourraient influer positivement sur sa carrière.
- Fuite de nouvelles expériences : Ne pas essayer des activités qui pourraient enrichir sa vie.
Reconnaître ces signes est la première étape vers la construction de la confiance en soi et la prise de décisions plus affirmées.
Identifier les origines du manque de confiance en soi
Expériences passées
Pour comprendre le manque de confiance en soi, il est essentiel d’examiner les expériences passées. Souvent, des événements marquants de notre enfance ou adolescence peuvent laisser des cicatrices émotionnelles. C’est l’exemple de Jean, qui a été moqué pour ses performances scolaires et qui développe, depuis, un doute persistant sur ses capacités intellectuelles.
Les types d’expériences qui peuvent influencer la confiance en soi incluent :
- Critiques négatives : Recevoir des commentaires dévalorisants de la part d’enseignants ou de pairs.
- Échecs répétés : Vivre des échecs sans le soutien nécessaire pour rebondir.
- Absence de validation : Ne jamais recevoir de soutien ou d’affirmation de la part de figures d’autorité.
Comparaison sociale
Un autre facteur qui alimente le manque de confiance en soi est la tendance à la comparaison sociale. Dans un monde immergé par les réseaux sociaux, il est facile de se sentir insuffisant en se mesurant aux autres. Par exemple, on peut se demander pourquoi certaines personnes semblent réussir sans effort, tout en ayant l’impression d’échouer.
Les conséquences de la comparaison sociale incluent :
- Sentiment d’inadéquation : Se sentir constamment en dessous des normes qu’on s’impose.
- Ressentiment : Éprouver de la jalousie ou de l’envie face aux réussites des autres au lieu de célébrer ses propres avancés.
- Procrastination : Éviter d’agir par peur de ne pas être à la hauteur.
Reconnaître ces origines permet de mieux cerner les racines du manque de confiance en soi et d’initier le processus de guérison.
Pratiquer l’autocompassions
Cultiver la bienveillance envers soi-même
Après avoir identifié les racines du manque de confiance en soi, il devient crucial de pratiquer l’autocompassion. Cela passe par la bienveillance envers soi-même, surtout dans des moments de difficulté ou d’échec. Par exemple, au lieu de se critiquer après une erreur au travail, on peut s’accorder une pause et se traiter avec la même gentillesse que l’on montrerait à un ami en détresse. Voici quelques stratégies pour cultiver cette bienveillance :
- Prendre un moment de réflexion : Avant de s’auto-juge, poser des questions comme « Que dirais-je à un ami dans cette situation ? ».
- Écrire des lettres à soi-même : Formuler des mots d’encouragement sur le papier pour renforcer l’estime personnelle.
- Pratiquer la gratitude personnelle : Noter des qualités ou réussites qui mettent en lumière ses forces.
Changer sa perspective sur les erreurs
Changer sa perspective sur les erreurs est également essentiel. Au lieu de voir les échecs comme des défaites, il est bénéfique de les considérer comme des occasions d’apprentissage. Par exemple, un athlète qui ne gagne pas une compétition peut réfléchir sur ses performances et utiliser ces apprentissages pour s’améliorer.
Voici quelques pistes pour adopter une nouvelle perspective :
- Analyser les échecs constructivement : Discuter des leçons tirées et des étapes pour progresser davantage.
- Être ouvert à l’imperfection : Accepter que l’erreur fasse partie intégrante du processus de croissance.
- Célébrer les petits succès : Reconnaître les améliorations, même minimes, aide à garder une attitude positive.
En intégrant l’autocompassion dans sa vie quotidienne, il devient possible de construire une confiance en soi plus forte et durable.
Développer des compétences et des forces personnelles
Fixer des objectifs réalistes
Pour construire la confiance en soi, il est crucial de développer ses compétences et de mettre en avant ses forces personnelles. La première étape consiste à fixer des objectifs réalistes et atteignables. Par exemple, si quelqu’un souhaite améliorer sa prise de parole en public, commencer par parler devant un petit groupe d’amis peut être un bon point de départ. Voici quelques conseils pour fixer des objectifs efficaces :
- Utiliser la méthode SMART : Veiller à ce que les objectifs soient Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporels.
- Diviser les grandes tâches en étapes plus petites : Cela permet de ne pas se sentir accablé et de faire des progrès constants.
- Évaluer régulièrement ses objectifs : Ajuster ses attentes au fur et à mesure de l’avancement pour rester motivé.
Mettre en valeur ses réussites
Une autre facette essentielle est de savoir mettre en valeur ses réussites, même les plus petites. Souvent, on a tendance à minimiser ses accomplissements, mais chaque étape compte. Par exemple, célébrer une présentation bien reçue au travail, même si ce n’était que pour une petite réunion, peut renforcer la confiance en soi. Voici comment mettre en avant ses succès :
- Tenir un journal de réussites : Écrire ses réalisations quotidiennement ou hebdomadairement pour prendre conscience des progrès réalisés.
- Partagez vos succès avec d’autres : Parler de vos réussites avec des amis ou des collègues peut renforcer votre sentiment de satisfaction.
- Se féliciter : Se donner des éloges simplement pour avoir tenté quelque chose de nouveau.
Développer de nouvelles compétences tout en célébrant ses forces est un chemin puissant pour renforcer la confiance en soi.
S’entourer de soutien
Chercher l’aide d’un professionnel
S’entourer d’un bon réseau de soutien est essentiel pour construire la confiance en soi. Voici quelques avantages à consulter un professionnel :
- Écoute bienveillante : Un espace sécurisé pour exprimer ses inquiétudes sans jugement.
- Approches personnalisées : Techniques et stratégies adaptées aux besoins individuels.
- Suivi structuré : Un cadre qui aide à rester motivé et sur la bonne voie.
Renforcer ses relations positives
Il est tout aussi important de renforcer ses relations positives. Entourez-vous de personnes qui vous encouragent et vous soutiennent. Par exemple, participer à des groupes d’entraide ou à des activités communautaires peut créer des liens précieux. Voici quelques idées pour nourrir ces relations :
- Investir du temps : Organiser des rencontres régulières avec des amis qui vous inspirent.
- Pratiquer la gratitude : Exprimer sa reconnaissance envers ceux qui apportent du soutien.
- Partager ses objectifs : Impliquer ses proches dans ses projets pour renforcer le sentiment de communauté.
En s’entourant de soutien et en cultivant des relations positives, il devient possible de surmonter les obstacles et de progresser sur le chemin de la confiance en soi.
Exercer la pensée positive
Affirmer des affirmations quotidiennes
L’exercice de la pensée positive est un outil puissant pour renforcer la confiance en soi. Une méthode efficace consiste à utiliser des affirmations quotidiennes. Cela signifie se répéter des phrases positives qui encouragent une vision optimiste de soi-même. Par exemple, débuter sa journée en se disant « Je suis capable et je mérite le succès » peut créer un état d’esprit proactif. Voici quelques astuces pour intégrer les affirmations dans votre routine :
- Choisir des phrases qui résonnent : Sélectionnez des affirmations qui correspondent à vos aspirations et valeurs.
- Répéter avec conviction : Dire ces affirmations devant un miroir peut renforcer leur impact.
- Écrire ses affirmations : Les noter dans un carnet permet de les garder en mémoire et de les relire régulièrement.
Visualiser le succès
Une autre technique complémentaire est la visualisation du succès. Il s’agit d’imaginer en détail une situation réussie avant qu’elle ne se produise. Par exemple, avant une présentation au travail, visualiser une performance réussie peut réduire l’anxiété. Voici quelques conseils pour pratiquer cette technique :
- Créer un environnement calme : Trouver un endroit tranquille pour se concentrer sur ses visualisations.
- Utiliser tous ses sens : Imaginer non seulement ce que vous voyez, mais aussi ce que vous ressentez et entendez dans cette réussite.
- Répéter régulièrement : Pratiquer la visualisation quotidiennement pour ancrer ces images positives.
En intégrant des affirmations et de la visualisation dans sa vie quotidienne, chacun peut transformer sa perspective et renforcer sa confiance en soi.
Sortir de sa zone de confort
Affronter ses peurs
Pour bâtir une confiance en soi solide, sortir de sa zone de confort est essentiel. Cela commence souvent par affronter ses peurs. Que ce soit la peur de l’échec ou celle du jugement des autres, chaque petite victoire contre ces craintes contribue à renforcer l’estime de soi. Par exemple, une personne qui redoute de parler en public pourrait commencer par s’exprimer lors de réunions informelles avec des amis. Voici quelques conseils pour affronter ses peurs :
- Lister ses peurs : Identifiez ce qui vous freine et évaluez chaque peur pour mieux la comprendre.
- Commencer petit : S’attaquer à des situations moins intimidantes avant de se lancer dans des défis plus importants.
- Se féliciter : Célébrer chaque pas en avant, aussi petit soit-il, pour renforcer la motivation.
Prendre des risques calculés
Une fois que l’on commence à affronter ses peurs, il est important de prendre des risques calculés. Cela signifie aller de l’avant en évaluant les conséquences et en ayant un plan de secours. C’est l’exemple de Jasmine qui envisage de changer de carrière et qui reporte sans cesse ce projet par manque de confiance en elle-même. L’accompagnement mis en œuvre lui a permis de mettre en place la LOGIQUE DES PETITS PAS DANS LE CHEMIN DE LA CONFIANCE EN SOI pour, ainsi, au fil des mois, effectuer des recherches, se former et établir un plan d’action pour rendre son défi réaliste et réalisable.
Voici comment prendre des risques mesurés :
- Évaluer les avantages et inconvénients : Écrire une liste pour peser le pour et le contre avant de prendre une décision.
- Se préparer : Investir dans des formations ou chercher du mentorat pour être mieux armé face aux changements.
- Accepter l’incertitude : Comprendre que prendre des risques implique des situations imprévues, mais cela fait partie du processus d’apprentissage.
En sortant de sa zone de confort, qu’il s’agisse d’affronter ses peurs ou de prendre des risques, chaque pas vers l’inconnu contribue à bâtir une confiance en soi durable et enrichissante.
Pratiquer l’assertivité
Apprendre à dire non
Pratiquer l’assertivité est un élément clé pour renforcer la confiance en soi. Cela commence souvent par apprendre à dire non sans culpabilité. Dire non ne signifie pas être égoïste, mais plutôt respecter ses propres limites.
C’est l’exemple de Léopold qui est, de façon récurrente, sollicité pour apporter de l’aide à ses collègues de travail et qui est sur le point de déclencher un burnout. Au cours de son accompagnement thérapeutique, il apprend à davantage se faire confiance pour savoir dire non et savoir décliner poliment mais fermement sans pour autant culpabiliser.
Voici quelques conseils pour apprendre à dire non :
- Soyez direct : Utilisez des phrases simples et claires pour exprimer votre refus.
- Proposez des alternatives : Si possible, suggérez une autre solution ou une ressource qui pourrait aider.
- Restez ferme : Maintenez votre position sans tergiverser, tout en restant respectueux.
Communiquer ses besoins clairement
Une autre facette de l’assertivité est de savoir communiquer ses besoins clairement. Exprimer ce que l’on souhaite permet de créer des relations plus saines et plus satisfaisantes. Par exemple, lors d’une discussion à propos de projets, faire part de ses attentes peut éviter des malentendus.
Voici comment bien communiquer ses besoins :
- Avoir recourt à la CNV (COMMUNICATION NON VIOLENTE) : Utiliser des « je » plutôt que des « tu » : Par exemple, « Je ressens que j’ai besoin de plus de clarté sur ce projet » au lieu de « Tu ne m’expliques jamais rien ».
- Être précis : Au lieu de dire « j’aimerais un peu plus de temps », préciser « j’aurais besoin d’une semaine supplémentaire pour finaliser ce travail ».
- Pratiquer l’écoute active : Après avoir exprimé vos besoins, soyez attentif au retour de l’autre personne.
En maîtrisant l’assertivité par le biais de refus clairs et de la communication de ses besoins, chacun peut établir des relations plus équilibrées et renforcer sa propre confiance en soi.
Trouver l’équilibre et prendre soin de soi
Prioriser le bien-être mental et physique
À mesure que l’on développe la confiance en soi, il devient crucial de trouver un équilibre en prenant soin de soi. Cela inclut de prioriser son bien-être mental et physique. Par exemple, intégrer des activités comme le yoga ou la méditation peut non seulement apaiser l’esprit, mais également renforcer le corps. Voici quelques façons de prioriser ce bien-être :
- Établir une routine régulière d’exercice : Viser au moins 30 minutes d’activité physique par jour.
- Adopter une alimentation équilibrée : Prendre le temps de préparer des repas nutritifs, ce qui influence directement l’humeur et l’énergie.
- Limiter le stress : Identifier les sources de stress et les gérer par le biais de techniques de relaxation.
Prendre du temps pour se ressourcer
Il est tout aussi important de prendre du temps pour se ressourcer. Que ce soit à travers des moments de solitude ou des activités qui procurent du plaisir, ces pauses sont vitales pour recharger ses batteries. Par exemple, lire un bon livre ou passer du temps dans la nature peut offrir une évasion nécessaire. Voici quelques suggestions pour se ressourcer :
- Planifier des pauses régulières : Intégrer des moments de repos dans votre agenda quotidien.
- S’engager dans des loisirs : Participer à des activités qui vous passionnent et qui vous détendent.
- Pratiquer la gratitude : Tenir un journal de gratitude pour apprécier les petites choses qui apportent du bonheur.
En trouvant cet équilibre et en prenant soin de soi, vous allez pouvoir créer un environnement propice à la confiance en soi, permettant de naviguer dans votre vie avec plus de sérénité et d’assurance.
Entamer une thérapie apparait indispensable pour se faire accompagner dans la gestion de la souffrance générée par le manque de confiance en soi. Pour la personne, il s’agit, alors, de faire des prises de conscience :
- Celle de prendre conscience que, pour se respecter, il est judicieux voire vital de prendre soin de soi (faire attention à soi) ;
- Celle d’envisager de soigner l’enfant meurtri (l’enfant intérieur) que l’on a été,
- Celle de prendre du temps pour se libérer de ses blessures du passé, quel que soit l’âge que l’on avait quand ces blessures sont survenues.
La mise en mots de ses blessures est essentielle pour pouvoir se libérer, agir, et redevenir un sujet.de sa vie. Vous avez la possibilité de me contacter afin que nous puissions, ensemble, lors d’une première consultation, faire le point sur ce que vous vivez. J’aurais plaisir à vous accueillir en souhaitant que je puisse vous aider à retrouver de la juste sérénité pour poursuivre votre chemin de vie.
Au cours de la thérapie qui peut se mettre en place, je vous inviterai à cheminer ensemble sur le fil de vos pensées, pour vous aider en toute bienveillance et empathie :
- À comprendre ce qui est à comprendre,
- À dénouer ce qui est à dénouer
Et ce, pour enfin construire ou reconstruire ce qui est à construire ou reconstruire, ce dans le respect du secret professionnel propre à mon éthique de psychologue.
MA CONVICTION
Chacun a en soi la capacité de s’aider soi-même, de guérir ses blessures psychiques.
Leave a Reply