S’AFFRANCHIR DE SES PARENTS …. Orphelins ou abandonnés, certains souffrent du manque laissé par le vide de l’absent. D’autres vivent l’inverse : un parent ni mort ni absent, mais au contraire, trop présent ou, pourrait-on dire, « mal-présent ». Et paradoxalement, il peut être plus simple de composer avec la blessure de l’absence que de vivre…