Comment reconnaître la dépendance affective ?
COMMENT RECONNAÎTRE LA DÉPENDANCE AFFECTIVE ?
Vous prenez conscience que vous ne parvenez pas à vous stabiliser dans une relation amoureuse ?
Plusieurs partenaires se sont succédés sans que vous réussissiez à trouver à avoir une relation stable dans laquelle vous pourriez construire… Vous avez le sentiment d’aller d’échec en échec …
Certains de vos amis vous ont parler de dépendance affective sans pour autant vous en dire davantage…
Cet article a pour objectif de faire le point sur la dépendance affective afin de vous permettre d’en repérer les signes ….
Je vous en souhaite une bonne lecture
1 – Une difficulté à être heureux tout en étant seul …
C’est une caractéristique qui peut vous donner l’alerte … Si vous ne parvenez pas à vous sentir heureux ou heureuse, en particulier lorsque vous êtes en situation d’être seul(e), vous pouvez envisager que vous êtes sous le coup de la dépendance affective. Son degré va dépendre du désarroi ou du mal-être voire de l’angoisse que vous allez ressentir lorsque vous êtes seul(e), tout en déterminant la fréquence… La dépendance affective peut être à l’ordre du jour :
- si vous avez trop fréquemment l’idée ou la sensation qu’être seul(e) avec vous même entraîne de l’ennui, de la fatigue, du vide
- si vous n’éprouvez aucun plaisir à passer du temps avec vous-même
- si vous ne parvenez pas à prendre du bon temps dans une activité, à être créatif, à innover…
- si vous éprouvez le besoin presque compulsif de devoir rencontrer quelqu’un afin que ce dernier vienne combler le vide en vous…
2 – Un besoin irrépressible de séduire l’autre et de plaire
Lorsqu’on est « dépendant affectif », on est la plupart du temps dans une logique de vouloir séduire.
Dès le début et tout le long de la relation, la personne dépendante affective va ressentir, presque de façon irrépressible, le besoin d’attirer l’attention du partenaire, de lui plaire, et d’être à la fois son centre d’intérêt unique et son centre d’attention.
Le plus important, pour une personne « dépendante affective » est d’être choisie par l’autre et d’avoir l’exclusivité.
Lorsque la relation s’installe, la « personne dépendante affective » prend progressivement conscience que ses attentes ne sont pas comblées. Elle rend compte que le partenaire ne correspond pas vraiment à ses choix, à ses valeurs, à ses critères de sélection…
Lorsque la relation s’installe, la « personne dépendante affective » prend progressivement conscience que ses attentes ne sont pas comblées. Elle rend compte que le partenaire ne correspond pas vraiment à ses choix, à ses valeurs, à ses critères de sélection…
Des reproches peuvent très vite être exprimés, sans réel fondement
Dans les faits, la personne à qui elle a le plus besoin d’apprendre à plaire c’est à elle-même.
Il est possible d’émettre l’hypothèse que c’est seulement lorsqu’elle aura appris à se plaire à elle-même qu’elle sera à même de ressentir des sentiments pour l’autre
3 – Ne plus être sois-même : perte d’identité, négation de soi-même
Dans l’objectif de plaire, de répondre à son besoin de séduction, à son besoin d’être choisie et d’être exclusive pour l’autre, la « personne dépendante affective », dès le début de la relation, va perdre une partie de son authenticité et ce, bien souvent inconsciemment.
Elle adopte, alors, un comportement susceptible de plaire à l’autre.
Un comportement qui selon sa perception correspond à ce que l’autre attend d’elle.
Pour autant, rapidement, la « personne dépendante affective » elle va se sentir gênée, mal à l’aise dans ce rôle et dans la relation, sans être consciente que ce qui provoque ce mal-être.
Il s’agit d’une forme de négation de soi-même comme un reniement à soi
Malgré cet état de fait, la « personne dépendante affective » va continuer à jouer ce rôle aussi longtemps que possible.
Une relation saine ne peut être construire basée sur le mensonge de qui l’on est véritablement.
Une relation saine ne peut être construire basée sur le mensonge de qui l’on est véritablement.
4 – S’emballer trop vite
Dans la relation amoureuse, la « personne dépendante affective » a tendance à vouloir aller très vite, à « s’emballer »…
Elle se projeter dans un avenir avec l’autre sans même avoir pris le temps de le connaître un minimum, ni de s’assurer que l’autre est sur la même longueur d’ondes qu’elle …
Plus la relation demeure dans le temps, plus son imagination est fertile et débordante sans forcément en faire part à l’autre ….
La « personne dépendante affective » se persuade que le partenaire finira par répondre à ses attentes. Puis lorsque enfin elle aborde le sujet, si l’autre n’est pas sur la même vibration qu’elle, elle se sent déçue, voir trahie, incomprise, anéantie, paniquée par la peur d’être déjà abandonnée. Peur dont elle n’est pas forcément consciente, une fois de plus.
Une relation saine se construit au fil du temps mais la personne dépendante affective se moque de ce principe, c’est une personne très impatiente qui veut tout et tout de suite.
Une relation saine se construit au fil du temps mais la personne dépendante affective se moque de ce principe, c’est une personne très impatiente qui veut tout et tout de suite.
5 – Aimer l’autre démesurément
Pour la personne dépendante affective, le seul et véritable amour doit être généreux.
Il s’agit là de sa propre croyance, de sa propre représentation des choses… Quand elle aime, elle aime trop, beaucoup trop ….. et à sa façon, souvent exclusive !
Ainsi, elle fait passer l’autre avant elle-même et avant toute sa vie, se faisant croire qu’elle le fait gratuitement et par plaisir. En réalité l’autre EST TOUTE SA VIE.
Elle fait passer les besoins de l’autre avant les siens. Elle n’est d’ailleurs pas consciente de ses propres besoins.
En vérité cet amour excessif qu’elle voue à l’autre est inconsciemment un amour conditionnel car il y a derrière cette attitude l’attente que l’autre comble son vide affectif.
Elle est convaincue que le véritable amour, c’est aimer l’autre pour être aimer en retour.
Elle confond amour et attachement.
L’attachement à avoir avec la peur d’être abandonné et c’est un amour intéressé et égoïste.
Pour connaître le véritable amour il lui faudra s’ouvrir à une nouvelle vision de l’amour. Un amour qui libère, qui ne possède pas, qui inspire le don du cœur, qui respecte et accepte l’autre tel qu’il est sans chercher à le changer.
Elle fait passer les besoins de l’autre avant les siens. Elle n’est d’ailleurs pas consciente de ses propres besoins.
En vérité cet amour excessif qu’elle voue à l’autre est inconsciemment un amour conditionnel car il y a derrière cette attitude l’attente que l’autre comble son vide affectif.
Elle est convaincue que le véritable amour, c’est aimer l’autre pour être aimer en retour.
Elle confond amour et attachement.
L’attachement à avoir avec la peur d’être abandonné et c’est un amour intéressé et égoïste.
Pour connaître le véritable amour il lui faudra s’ouvrir à une nouvelle vision de l’amour. Un amour qui libère, qui ne possède pas, qui inspire le don du cœur, qui respecte et accepte l’autre tel qu’il est sans chercher à le changer.
6 – Etre dans une logique de sauver l’autre ….
La « personne dépendante affective » attire souvent des partenaires à problèmes ou incapables de se prendre en charge, qui ont besoin d’une assistante sociale, d’une maman, d’une infirmière, d’un chauffeur voire même d’une banque.
Elle est ainsi, rarement consciente du rôle qu’elle joue et du fait qu’elle s’oublie …s’oublier dans l’autre …
Comme si elle était absente à elle même
Parfois, il arrive qu’en s’oubliant pour l’autre, en prenant en charge des tâches qui ne lui appartiennent pas, la « personne dépendante affective » va sacrifier son propre équilibre, son propre épanouissement, pouvant même se mettre en danger ou dans des situations à risque …
Il est possible d’émettre l’hypothèse que la « personne dépendante affective » est conditionnée dans ce rôle au regard de sa propre histoire familiale….
Elle a besoin d’apprendre à s’occuper davantage de ses propres problèmes et laisser l’autre gérer les siens.
Cela aurait pour conséquence de renforcer l’autonomie et l’auto estime de chacun, ce qui serait bénéfique pour l’harmonie dans le couple.
7 – Avoir constamment le besoin d’être rassuré et être aimé …
La « personne dépendante affective » cherche sans cesse à être rassurée sur ses sentiments à son égard au point d’envahir l’espace vital du partenaire.
C’est ce vide affectif, toxique, qu’elle porte en elle depuis son enfance qui la ronge, qui l’abîme …
Elle a le sentiment intime qu’elle n’a jamais vraiment été aimée à la hauteur de ses besoin lorsqu’elle était enfant. De fait, ses émotions se répètent constamment dans tout son être comme un cercle vicieux.
Elle reste persuadée que la solution est dans le fait d’être rassurée en permanence par son partenaire. En conséquence, elle le questionne sans cesse sur ses sentiments, voire même, le harcèle.
Au début, l’autre est patient et la rassure mais ce n’est qu’une sécurité éphémère. Elle ne réalise pas que ce comportement étouffant et envahissant pour l’autre le fait fuir et quand elle fini par s’en apercevoir il est parfois déjà trop tard. Elle a besoin d’apprendre à se rassurer par elle-même en apprenant à s’aimer.
8 – Être totalement dépendant et obsédé par la pensée de l’autre
L’autre est l’objet permanent et incessant de toutes ses pensées. Jour et nuit, la « personne dépendante affective » pense à lui, se demande se qu’il fait en ce moment, avec qui il est, quand aura-t-elle de ses nouvelles, quand répondra-t-il à son dernier mail ou son dernierappel …
Quand le reverra-t-elle ?
Est-ce qu’il pense aussi à elle.
On repère qu’il n’y a plus de la place dans son esprit que pour l’autre au point qu’il devient la priorité de sa vie à la place des priorités réelles.
Cette obsession de l’autre crée une agitation mentale beaucoup trop intense qui génère stress, insécurité et mal-être physique et mental.
Elle a besoin d’apprendre à nourrir son esprit avec des activités apaisantes et agréables qui remplaceront progressivement cette obsession.
9 – Possessivité et jalousie sont les maîtres mots
Comme beaucoup de gens la personne dépendante affective a été conditionnée à croire que la jalousie est une preuve d’amour. Elle a grandie dans un environnement où ce sentiment était nourri et valorisé. Alors, elle sent bien que cette jalousie la ronge et met en péril la santé de son couple mais c’est plus fort qu’elle, elle est incapable de se maîtriser surtout lorsqu’elle se promet de ne plus être jalouse.
Durant les premiers temps de la relation, même son partenaire se sent flatté d’être l’objet d’un tel intérêt mais très vite son attitude possessive et méfiante devient l’objet de nombreux conflits au sein du couple et c’est souvent un des facteurs les plus destructifs dans les relations de codépendance.
La jalousie c’est tout sauf une preuve d’amour. En réalité la jalousie est une preuve de manque d’amour envers soi-même.
Le véritable amour n’a rien à voir avec la jalousie et personne n’appartient à personne mais la société a été conditionné à croire que dès l’instant où l’on s’engage dans une relation de couple l’un appartient à l’autre ou pire un des deux appartient à l’autre comme si c’était un esclave qui doit obéir au moindre souhait de l’autre. C’est malheureusement encore très d’actualité, bien plus qu’on ne l’imagine.
Durant les premiers temps de la relation, même son partenaire se sent flatté d’être l’objet d’un tel intérêt mais très vite son attitude possessive et méfiante devient l’objet de nombreux conflits au sein du couple et c’est souvent un des facteurs les plus destructifs dans les relations de codépendance.
La jalousie c’est tout sauf une preuve d’amour. En réalité la jalousie est une preuve de manque d’amour envers soi-même.
Le véritable amour n’a rien à voir avec la jalousie et personne n’appartient à personne mais la société a été conditionné à croire que dès l’instant où l’on s’engage dans une relation de couple l’un appartient à l’autre ou pire un des deux appartient à l’autre comme si c’était un esclave qui doit obéir au moindre souhait de l’autre. C’est malheureusement encore très d’actualité, bien plus qu’on ne l’imagine.
10 – Avoir le besoin obsessionnel de surveiller l’autre
Là aussi, la personne dépendante affective dépense une énergie et un temps considérables à se rendre malade d’inquiétude parce qu’elle a peur d’être trahie, peur des infidélités de son partenaire.
Alors elle surveille ses moindres faits et gestes. Elle est incapable d’avoir confiance en lui tout simplement parce qu’elle n’a pas confiance en elle-même. Mais ça, elle en et totalement inconsciente.
Et parfois, à force de fouiller elle finit par découvrir le pot aux roses, ce qui d’ailleurs peut faire l’affaire de son partenaire qui à force de se sentir étouffé a fini par être infidèle et lui aura prouvé qu’elle avait raison de se méfier. C’est alors qu’elle se dit “j’en étais sûre !”
Si seulement elle savait à quel point ses pensées et ses mots créent sa réalité !
Alors elle surveille ses moindres faits et gestes. Elle est incapable d’avoir confiance en lui tout simplement parce qu’elle n’a pas confiance en elle-même. Mais ça, elle en et totalement inconsciente.
Et parfois, à force de fouiller elle finit par découvrir le pot aux roses, ce qui d’ailleurs peut faire l’affaire de son partenaire qui à force de se sentir étouffé a fini par être infidèle et lui aura prouvé qu’elle avait raison de se méfier. C’est alors qu’elle se dit “j’en étais sûre !”
Si seulement elle savait à quel point ses pensées et ses mots créent sa réalité !
11 – Accepter ce qui ne peut être accepté ..
Malheureusement le degré de leur blessure est tel que certaines personnes dépendantes affectives vont jusqu’à supporter l’insupportable dans une relation comme la violence qu’elle soit verbale ou physique, l’humiliation, la soumission et jusqu’à l’abus physique et moral.
Lorsqu’on en arrive à ce stade la déchéance est telle que parfois, seul un miracle parvient à sauver la victime.
C’est à ce stade qu’elle finit par toucher le fond mais cette expérience lui est souvent nécessaire pour que le miracle se produise et qu’elle s’éveille. (J’en suis la preuve vivante )
Bien que ce soient des cas d’une extrême souffrance, il est possible d’en guérir et pour ceux / celles d’entre vous qui lisez cet article et qui vous reconnaissez dans ces lignes, je vous invite à focaliser votre attention et votre énergie sur des cas inspirants qui sont parvenus à s’en sortir. Il y en a partout, cherchez les et inspirez vous de leurs expériences, cela vous donnera la force d’y arriver à votre tour.
Lorsqu’on en arrive à ce stade la déchéance est telle que parfois, seul un miracle parvient à sauver la victime.
C’est à ce stade qu’elle finit par toucher le fond mais cette expérience lui est souvent nécessaire pour que le miracle se produise et qu’elle s’éveille. (J’en suis la preuve vivante )
Bien que ce soient des cas d’une extrême souffrance, il est possible d’en guérir et pour ceux / celles d’entre vous qui lisez cet article et qui vous reconnaissez dans ces lignes, je vous invite à focaliser votre attention et votre énergie sur des cas inspirants qui sont parvenus à s’en sortir. Il y en a partout, cherchez les et inspirez vous de leurs expériences, cela vous donnera la force d’y arriver à votre tour.
12 – Etre dépendant du regard de l’autre …
C’est parce qu’elle a une faible estime d’elle-même que la personne dépendante affective est incapable de reconnaître sa valeur.
Elle est alors persuadée, inconsciemment bien sûr, que sans l’autre elle ne vaut rien.
C’est ainsi qu’elle est toute fière de présenter à son entourage un partenaire qui a poursuivi de hautes études ( celles qu’elle aurait aimé poursuivre mais ne s’en est pas sentie capable ), ou un partenaire au physique attrayant ( oui malgré sa laideur – selon elle puisqu’elle est incapable de voir sa valeur – ça la rassure un peu d’avoir tout de même réussi à intéresser un bel homme ), ou un partenaire qui a une situation financière aisée ( celle qu’elle aimerait avoir par ses propres moyens mais ne s’en donne pas les moyens justement, c’est plus facile de l’obtenir à travers l’autre, même si ce n’est qu’une sécurité illusoire ).
Hélas, elle ne connaîtra sa vrai valeur que lorsqu’elle se donnera le droit de s’accomplir elle-même.
Elle est alors persuadée, inconsciemment bien sûr, que sans l’autre elle ne vaut rien.
C’est ainsi qu’elle est toute fière de présenter à son entourage un partenaire qui a poursuivi de hautes études ( celles qu’elle aurait aimé poursuivre mais ne s’en est pas sentie capable ), ou un partenaire au physique attrayant ( oui malgré sa laideur – selon elle puisqu’elle est incapable de voir sa valeur – ça la rassure un peu d’avoir tout de même réussi à intéresser un bel homme ), ou un partenaire qui a une situation financière aisée ( celle qu’elle aimerait avoir par ses propres moyens mais ne s’en donne pas les moyens justement, c’est plus facile de l’obtenir à travers l’autre, même si ce n’est qu’une sécurité illusoire ).
Hélas, elle ne connaîtra sa vrai valeur que lorsqu’elle se donnera le droit de s’accomplir elle-même.
13 – Le manque de confiance en Soi
Nous avons vu plus haut, au point 10 qu’une personne dépendante affective est incapable d’avoir confiance en l’autre parce qu’elle manque de confiance en elle-même.
Ce manque de confiance génère bien davantage de contraintes dans sa vie sentimentale.
En effet, c’est le genre de personne qui se croit indigne de mériter l’amour et de mériter mieux que ce qu’elle a déjà. C’est la raison pour laquelle elle se contente souvent de rester avec des partenaires qui ne lui conviennent pas et de se satisfaire de miettes au lieu d’avoir l’audace de rompre et de s’offrir une vie plus agréable.
Ce manque de confiance génère bien davantage de contraintes dans sa vie sentimentale.
En effet, c’est le genre de personne qui se croit indigne de mériter l’amour et de mériter mieux que ce qu’elle a déjà. C’est la raison pour laquelle elle se contente souvent de rester avec des partenaires qui ne lui conviennent pas et de se satisfaire de miettes au lieu d’avoir l’audace de rompre et de s’offrir une vie plus agréable.
14 – Attirance des pervers narcissiques…
Voilà une attirance qui concerne bon nombre de personnes dépendantes affectives et elles s’en passeraient bien mais cette attirance a bel et bien une raison d’être.
Au mieux elles attirent un partenaire qui joue avec leurs nerfs parce qu’il est incapable de se positionner clairement dans la relation ; un coup il prend ses distances, un coup il revient et leur redonne de l’espoir. Il se comporte ainsi simplement parce qu’il est lui même en carence affective et que ce petit jeu malsain auquel la dépendante affective accepte de jouer le valorise et le nourri temporairement au même titre qu’elle se sent nourrie temporairement lorsqu’il la rassure sur ses sentiments.
Au pire il la manipulera habilement en la culpabilisant, en la critiquant, en la rabaissant en l’humiliant et en tournant la situation à son avantage se faisant passer lui-même pour la victime. En faisant appel à sa conscience, la personne dépendante affective réalise que cette attirance représente simplement le reflet de la façon dont elle se traite elle-même dans cette relation, en acceptant le comportement toxique de son partenaire et en rentrant dans ces jeux malsains. La vie vous traite comme vous vous traitez vous-mêmes !
C’est une réalité qui est difficile à admettre, mais c’est la réalité.
Une autre vérité que la société refuse d’admettre c’est qu’il n’y a pas de méchants dans la vie, il n’y a que des personnes souffrantes. Même le pire des criminel est une personne souffrante. Un pervers narcissique est en quelque sortes un dépendant affectif puisque son comportement est dû au manque d’amour qu’il ressent et au fait qu’en réalité il ne s’aime absolument pas, contrairement à ce que l’on pourrait croire. Une personne dépendante affective ne s’aime pas d’avantage. Chacun exprime juste sa dépendance, donc sa souffrance, d’une manière différente.
D’ailleurs certaines personnes dépendantes affectives inversent parfois les rôles , devenant à leur tour des perverses narcissiques envers d’autres personnes, qu’elles en soient conscientes ou pas. Alors nous récoltons toujours ce que nous semons.
Au mieux elles attirent un partenaire qui joue avec leurs nerfs parce qu’il est incapable de se positionner clairement dans la relation ; un coup il prend ses distances, un coup il revient et leur redonne de l’espoir. Il se comporte ainsi simplement parce qu’il est lui même en carence affective et que ce petit jeu malsain auquel la dépendante affective accepte de jouer le valorise et le nourri temporairement au même titre qu’elle se sent nourrie temporairement lorsqu’il la rassure sur ses sentiments.
Au pire il la manipulera habilement en la culpabilisant, en la critiquant, en la rabaissant en l’humiliant et en tournant la situation à son avantage se faisant passer lui-même pour la victime. En faisant appel à sa conscience, la personne dépendante affective réalise que cette attirance représente simplement le reflet de la façon dont elle se traite elle-même dans cette relation, en acceptant le comportement toxique de son partenaire et en rentrant dans ces jeux malsains. La vie vous traite comme vous vous traitez vous-mêmes !
C’est une réalité qui est difficile à admettre, mais c’est la réalité.
Une autre vérité que la société refuse d’admettre c’est qu’il n’y a pas de méchants dans la vie, il n’y a que des personnes souffrantes. Même le pire des criminel est une personne souffrante. Un pervers narcissique est en quelque sortes un dépendant affectif puisque son comportement est dû au manque d’amour qu’il ressent et au fait qu’en réalité il ne s’aime absolument pas, contrairement à ce que l’on pourrait croire. Une personne dépendante affective ne s’aime pas d’avantage. Chacun exprime juste sa dépendance, donc sa souffrance, d’une manière différente.
D’ailleurs certaines personnes dépendantes affectives inversent parfois les rôles , devenant à leur tour des perverses narcissiques envers d’autres personnes, qu’elles en soient conscientes ou pas. Alors nous récoltons toujours ce que nous semons.
15 – Une tendance à attirer des partenaires indisponibles, distants ou qui ont peur de l’engagement
Là encore c’est une attirance qui en dit long sur l’état d’être intérieur de la personne dépendante affective.
Cette attirance a, pour la plupart des cas, un lien avec ses blessures d’enfance où elle a également attiré un parent du sexe opposé qu’elle sentait indisponible et distant. C’est donc un schéma qui se répète dans ses relations de couple. Ce schéma répétitif a pour but de lui apprendre le détachement.
Ces partenaires qui ont peur de s’engager lui renvoient encore une fois un reflet dont elle n’est pas consciente et qu’elle n’a pas envie de reconnaître en elle. Cela représente tout simplement la peur qu’elle a de s’engager envers elle même pour apprendre à se connaître et à regarder ses blessures en face ce qui serait bien trop douloureux. Enfin, la peur d’engagement du partenaire symbolise une peur commune qui est celle de l’échec.
Afin de ne pas connaître cet échec qui les ferait trop souffrir l’un comme l’autre, la personne dépendante affective s’attire un partenaire avec une situation qu’il utilisera comme prétexte pour ne pas s’engager tout le long de la relation.
Quant à elle, son prétexte pour éviter l’échec c’est tout simplement le partenaire qui ne veux pas s’engager.
Tous deux sont inconscients qu’ils n’ont pas besoin de connaître l’échec pour souffrir, une telle relation est déjà un échec et une source de souffrance pour l’un comme pour l’autre, simplement ils vivent tout cela de manière « anesthésiée ».
Cette attirance a, pour la plupart des cas, un lien avec ses blessures d’enfance où elle a également attiré un parent du sexe opposé qu’elle sentait indisponible et distant. C’est donc un schéma qui se répète dans ses relations de couple. Ce schéma répétitif a pour but de lui apprendre le détachement.
Ces partenaires qui ont peur de s’engager lui renvoient encore une fois un reflet dont elle n’est pas consciente et qu’elle n’a pas envie de reconnaître en elle. Cela représente tout simplement la peur qu’elle a de s’engager envers elle même pour apprendre à se connaître et à regarder ses blessures en face ce qui serait bien trop douloureux. Enfin, la peur d’engagement du partenaire symbolise une peur commune qui est celle de l’échec.
Afin de ne pas connaître cet échec qui les ferait trop souffrir l’un comme l’autre, la personne dépendante affective s’attire un partenaire avec une situation qu’il utilisera comme prétexte pour ne pas s’engager tout le long de la relation.
Quant à elle, son prétexte pour éviter l’échec c’est tout simplement le partenaire qui ne veux pas s’engager.
Tous deux sont inconscients qu’ils n’ont pas besoin de connaître l’échec pour souffrir, une telle relation est déjà un échec et une source de souffrance pour l’un comme pour l’autre, simplement ils vivent tout cela de manière « anesthésiée ».
16 – Croire que la vie n’a pas de sens sans une relation à deux
Voilà le sens de la vie telle qu’il nous a été inculqué par la société. Malheur à celui qui se dit être un célibataire heureux. La société entière le regardera comme s’il était presque un extra terrestre ou pire, comme s’il était un menteur. « Quoi ? Tu prétends être heureux alors que t’es seul ? » ou « À ton âge tu n’as encore rencontré quelqu’un ? » ou bien « Ma pauvre tu n’arrive pas à te trouver un homme ! » ou encore « Oh le pauvre, il va finir sa vie tout seul ! »
Bonjour la pression que la société nous met !Vous qui lisez ces lignes, vous rigolez peut être mais vous savez bien que c’est vraiment comme ça que ça se passe.
Alors la personne dépendante affective, est une bonne proie pour gober tous ces conditionnements remplis d’insécurités. Il n’y a pas mieux pour se perdre, pour se déconnecter de l’Être véritable que nous sommes, que d’écouter les « vérités » des autres et pire que de les écouter, y adhérer sans même vérifier si cela représente également notre vérité.
Voilà comment née une croyance dans notre esprit, on laisse les autres nous dicter leur vérité et nous les croyons sur parole. Mais qui a décrété que la vie n’avait pas de sens sans une relation à deux ?!
Avez-vous seulement essayé une vie en solo sans être parasité par les pensées des autres ?
Je vous invite à essayer mais il vous faudra d’abord faire du nettoyage dans vos pensées. Attention, je ne suis pas en train de vous dire qu’une vie à deux n’a pas de sens.
Je dis seulement qu’il n’est pas nécessaire de vivre une vie à deux pour que la vie ait un sens et ceci est difficilement assimilable pour une personne dépendante affective.
Bonjour la pression que la société nous met !Vous qui lisez ces lignes, vous rigolez peut être mais vous savez bien que c’est vraiment comme ça que ça se passe.
Alors la personne dépendante affective, est une bonne proie pour gober tous ces conditionnements remplis d’insécurités. Il n’y a pas mieux pour se perdre, pour se déconnecter de l’Être véritable que nous sommes, que d’écouter les « vérités » des autres et pire que de les écouter, y adhérer sans même vérifier si cela représente également notre vérité.
Voilà comment née une croyance dans notre esprit, on laisse les autres nous dicter leur vérité et nous les croyons sur parole. Mais qui a décrété que la vie n’avait pas de sens sans une relation à deux ?!
Avez-vous seulement essayé une vie en solo sans être parasité par les pensées des autres ?
Je vous invite à essayer mais il vous faudra d’abord faire du nettoyage dans vos pensées. Attention, je ne suis pas en train de vous dire qu’une vie à deux n’a pas de sens.
Je dis seulement qu’il n’est pas nécessaire de vivre une vie à deux pour que la vie ait un sens et ceci est difficilement assimilable pour une personne dépendante affective.
17 – Avoir peur de l’abandon et de la solitude
C’est la plus grande peur de la personne dépendante affective.
C’est une peur qui est nourrie depuis l’enfance et elle peut être réelle ou imaginaire.
C’est à dire qu’enfant, la personne dépendante affective a pu vivre une expérience où elle s’est réellement sentie abandonnée ou alors elle a pu imaginer au cours d’une circonstance qu’elle pourrait être abandonnée. Cet abandon réel ou imaginaire a été vécu avec le parent du sexe opposé, c’est la raison pour laquelle elle reproduit ce schéma dans ses relation sentimentales avec un partenaire du sexe opposé. Quant à la peur de la solitude, bon nombre de personnes dépendantes affectives croient ne pas avoir cette peur simplement parce qu’elles vivent déjà cet état de solitude.
Mais elles ne réalisent pas à quel point cette solitude les pèsent et à quel point elles vivent mal cette solitude. Une bonne façon d’en devenir consciente est de vérifier si l’on cherche à remplir cette solitude par la fréquentation des sites de rencontres, par exemple. C’est le meilleur endroit pour trouver des personnes sur la même vibration de manque affectif. Un être en manque d’amour attire toujours un autre être en manque d’amour et voilà comment ils cocréent une relation de codépendance. La solitude est le cadeau qui permet de se reconnecter à Soi.
C’est une peur qui est nourrie depuis l’enfance et elle peut être réelle ou imaginaire.
C’est à dire qu’enfant, la personne dépendante affective a pu vivre une expérience où elle s’est réellement sentie abandonnée ou alors elle a pu imaginer au cours d’une circonstance qu’elle pourrait être abandonnée. Cet abandon réel ou imaginaire a été vécu avec le parent du sexe opposé, c’est la raison pour laquelle elle reproduit ce schéma dans ses relation sentimentales avec un partenaire du sexe opposé. Quant à la peur de la solitude, bon nombre de personnes dépendantes affectives croient ne pas avoir cette peur simplement parce qu’elles vivent déjà cet état de solitude.
Mais elles ne réalisent pas à quel point cette solitude les pèsent et à quel point elles vivent mal cette solitude. Une bonne façon d’en devenir consciente est de vérifier si l’on cherche à remplir cette solitude par la fréquentation des sites de rencontres, par exemple. C’est le meilleur endroit pour trouver des personnes sur la même vibration de manque affectif. Un être en manque d’amour attire toujours un autre être en manque d’amour et voilà comment ils cocréent une relation de codépendance. La solitude est le cadeau qui permet de se reconnecter à Soi.
18 – S’accrocher à l’autre
C’est bien à cause de cette peur de l’abandon et de la solitude que la personne dépendante affective s’accroche à l’autre dès qu’elle sent l’insécurité du couple pointer le bout de son nez.
Elle est convaincue, en tout cas elle essaie de se convaincre du mieux qu’elle peut, qu’elle est la personne qui lui faut ; que contrairement à ses ex partenaires, elle, elle saura prendre soin de lui et le rendre heureux.
D’ailleurs elle croit que la relation à deux c’est être responsable du bonheur de l’autre et vice versa. Alors il n’est pas question qu’il lui échappe.
Elle a d’ailleurs déjà oublié que lors de sa dernière relation ça s’était passé exactement de la même façon mais elle nie en bloc tout simplement parce qu’elle en est inconsciente. « Non ! Cette fois-ci c’est totalement différent ! »
Alors elle s’accroche, mais plus elle s’accroche plus il fuit. Elle arrive parfois à retarder l’échéance mais bien souvent à quel prix !
Elle est convaincue, en tout cas elle essaie de se convaincre du mieux qu’elle peut, qu’elle est la personne qui lui faut ; que contrairement à ses ex partenaires, elle, elle saura prendre soin de lui et le rendre heureux.
D’ailleurs elle croit que la relation à deux c’est être responsable du bonheur de l’autre et vice versa. Alors il n’est pas question qu’il lui échappe.
Elle a d’ailleurs déjà oublié que lors de sa dernière relation ça s’était passé exactement de la même façon mais elle nie en bloc tout simplement parce qu’elle en est inconsciente. « Non ! Cette fois-ci c’est totalement différent ! »
Alors elle s’accroche, mais plus elle s’accroche plus il fuit. Elle arrive parfois à retarder l’échéance mais bien souvent à quel prix !
19 – Une tendance à sombrer dans la dépression après une rupture
C’est tout l’un ou tout l’autre ! Soit elle sombre dans la dépression incapable de tourner la page et parfois ça peut durer des mois, voire des années ; soit pour oublier, donc fuir, elle passe le plus vite possible au suivant.
Dans le premier cas les conséquences peuvent être plus ou moins désastreuses.
Dans le deuxième cas c’est repartit pour un tour !
Dans le premier cas les conséquences peuvent être plus ou moins désastreuses.
Dans le deuxième cas c’est repartit pour un tour !
20- Une tendance à répéter des relation malsaines
Nous avons beau constater que notre manière de nous comporter dans nos relatons ne porte pas les fruits qu’on aurait souhaité, nous recommençons sans cesse les mêmes schémas.
Et tant qu’on continuera de faire ce qu’on a toujours fait, nous continuerons d’obtenir les mêmes résultats.
Nous vivons dans l’inconscience jusqu’au jour où nous n’en pouvons plus de souffrir pour laisser enfin place à l’éveil.
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